AIR FRANCE assume ses responsabilités : sans transport d'animaux, l'espace Européen de la recherche serait significativement affecté. Les chercheurs européens craignent le pire
Basel (ots)
En faisant le choix d'être une des dernières compagnies aériennes acceptant de transporter des animaux, Air France fournit un soutien inestimable à la recherche internationale. Ceux qui croient au progrès de ma médecine savent qu'on ne peut se passer de recherche sur les animaux.
La Basel Declaration Society (BDS) condamne sans réserve les tentatives de pressions des animalistes sur Air France qui ont comme objectif final l'arrêt total des recherches sur l'animal avec comme conséquence de détruire la recherche biomédicale. En Europe seule la recherche fondamentale est capable de produire un nombre limité d'animaux dans des centres hautement spécialisés. L'importation indispensable d'animaux par des compagnies aériennes aux meilleurs standards des règles du transport international est le moyen le plus confortable d'assurer l'acheminement rapide et en toute sécurité de ces animaux vers les centres de recherche.
Les animalistes excitent l'opinion publique en mettant en avant l'utilisation d'espèces de primates non humain tels que le macaque rhésus auquel ils sont particulièrement sensibles. Mais si nous voulons guérir des maladies aussi graves que la maladie de Parkinson ou la maladie d'Alzheimer, éradiquer le SIDA ou l'Ebola par exemple nous n'y parviendrons pas sans études sur les primates non humains. La NDS et les 3500 chercheurs qui ont signé la Déclaration de Bâle expriment chaleureusement leur reconnaissance à Air France qui en prenant la décision courageuse de continuer à fournir des animaux aux chercheurs apporte une contribution forte au progrès de la médecine.
Contact:
Prof. Dr. Rolf Zeller, Président of the Basel Declaration Society
zeller@basel-declaration.org