Ja Komitee "Zukunft mit Komplementärmedizin" / Oui Pour les médecines complémentaires
Des patients attestent l'importance des médecines complémentaires
Heerbrugg (ots)
La forte demande suisse pour les médecines complémentaires n'arrête pas de croître et une majorité de la population souhaite avoir accès à plus de possibilités de traitements complémentaires. La médecine complémentaire est considérée comme efficace par 80% des patients et par 50% des médecins. Une grande majorité souhaite que la médecine complémentaire puisse à l'avenir être remboursée par l'assurance de base. Ainsi sont les conclusions de plusieurs études scientifiques concernant la médecine complémentaire.
Conformément au baromètre de santé du gfs de 2003, 74% de la population exige un accroissement de la part du financement du domaine de la santé attribué aux médecines complémentaires. Ces chiffres sont approuvés par le moniteur de santé 2004 du gfs qui a été publié en septembre 2004 sous mandat d'Interpharma: Même si on devait réussir à stabiliser les coûts, l'échantillon de personnes représentatives serait prêt à libérer plus de moyen pour les soins à domicile et la médecine naturelle, toujours selon l'étude du gfs.
Un bilan neutre
Le rapport coût-performance pèse également en faveur d'un engagement accru pour la médecine complémentaire. Il existe de nombreuses preuves que les traitements de médecine complémentaire agissent dans beaucoup de cas, au moins aussi bien que ceux basés sur la médecine conventionnelle. Toutefois en comparaison avec les produits chimiques, ils ne provoquent que de très rares effets secondaires. D'après des estimations de santésuisse, la fédération des assureurs maladie, les frais de la médecine complémentaire constituent seulement 0.2 à 0.5% des frais de santé totaux, qui s'élèvent à près de CHF 50 Mia..
Une offre relativement faible
La grande demande en médecine complémentaire fait face à une offre relativement faible. Il n'existe qu'environ 1500 cabinets orientées vers les médecines complémentaires en Suisse.
Considération insuffisante dans la recherche et dans l'enseignement
Pour ce qui concerne la science, la recherche et la formation, la médecine complémentaire est sous-affectée. Dans les établissements d'enseignement supérieur en Suisse, face aux 1'049 professorats de médecine académique, il n'existe que deux chaires destinées à la médecine complémentaire. En conséquence, de grands besoins restent encore à couvrir dans le domaine de la recherche en médecines complémentaires. Pour adapter à moyen terme la demande à l'offre, l'initiative populaire "OUI aux médecines complémentaires" a été lancée en septembre 2004 soutenu par un grand nombre d'associations.
Informations complémentaires sur les recherches citées et communiqué intégrale voir: www.ja-zur-komplementaermedizin.ch / Français / Médias / Communiqués
Contact:
Walter Stüdeli
porte parole de l'initiative populaire "OUI aux médecines
complémentaires"
Tél. +41/31/560'00'24
Fax: +41/31/560'00'25
Mobile: +41/79/330'23'46
E-Mail: walter.stuedeli@koest.ch
Dr. Hansueli Albonico
Tél. Cabinet +41/34/402'14'19
E-Mail: albolem@hotmail.com
Secrétariat de l'initiative populaire "OUI aux médecines
complémentaires"
Karl-Völker-Strasse 28
9435 Heerbrugg
Tél. +41/71/722'08'74
Fax: +41/71/722'05'30
E-Mail: info@ja-zur-komplementaermedizin.ch