Pasang Memmishofer et le sort des femmes auTibet
Tibet (ots)
Pasang Memmishofer, porte-parole de l'organisation des femmes tibétaines en Suisse Le sort des femmes tibétaines sous la domination chinoise Marie-José Portmann, APIC Pasang Memmishofer a fui Lhassa devant l'oppresseur chinois en 1959, pour se réfugier à Dharamsala, au nord de l'Inde. Comme nombre de Tibétains de sa génération. L'ancienne présidente de l'organisation des femmes tibétaines en Suisse dénonce les tortures inimaginables que subissent les femmes dans les geôles tibétaines.
Pasang Memmishofer dénonce l'intensification de la répression ces dernières années au Tibet. Le vice-président chinois Hu Jintao, qui prendra la succession l'an prochain du président Jian Zemin, a répété ce printemps devant les députés de la région dite autonome du Tibet (le Tibet central) la volonté de la Chine de réprimer le séparatisme tibétain et les activités religieuses "illégales". "Le toit du monde est devenu une immense prison où les Tibétains vivent dans la terreur, privés de tous leurs droits. Jeunes, personnes âgées ou enfants sont discriminés sur tous les plans", explique Pasang Memmishofer. Il suffit de participer à une manifestation pacifique en portant un drapeau tibétain pour être emprisonné.
Selon les chiffres de l'année 1999, sur les 615 détenus d'opinion dans les geôles du Tibet, 156 femmes sont des femmes, des moniales pour la plupart qui subissent des tortures inimaginables. "Bon nombre d'entre elles meurent en prison et les autres en ressortent à moitié folles".
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