Les Employés Suisse disent Oui au milliard de cohésion - Un investissement qui concerne également notre avenir
Zurich (ots)
Les Employés Suisse ne considèrent pas le milliard de cohésion comme étant une dépense, mais un investissement rentable à l'avenir.
Avec le milliard de cohésion, la Suisse veut contribuer à l'intégration et au développement des pays d'Europe de l'Est. Comme cette approche assure de nouveaux débouchés dans cette région, notre pays pourra lui aussi profiter de cette ouverture économique à l'Est. Les moyens financiers qui doivent être versés aujourd'hui dans ces pays constituent donc un investissement, et non une simple dépense.
Les paiements devant être neutres en termes de coûts, aucune nouvelle dette ne sera contractée. De plus, cette dépense ne concerne pas l'aide au développement, les pauvres continueront à toucher les prestations que fournit la Suisse.
Les Employés Suisse se prononcent en faveur d'une poursuite rigoureuse de la voie bilatérale. Si l'investissement pour les pays de l'Est devait être rejeté, les conséquences pour la Suisse seraient fatales. Nous ne pourrions plus nous permettre d'irriter l'Union Européenne! Les éventuelles mesures répressives exercées par l'UE causeraient un grave préjudice aux branches axées sur l'exportation telles que l'industrie des machines et la chimie. C'est pourquoi les Employés Suisse recommandent à leurs membres d'accepter le milliard de cohésion.
Contact:
Hansjörg Schmid, chef de la communication Employés Suisse,
Tél. 044 360 11 21, Portable 076 443 40 40
Les Employés Suisse sont l'organisation des employés la plus
importante des branches MEM (industrie des machines, des équipements
électriques et des métaux), Chimie/Pharmacie et Economie électrique.
Environ 27 000 employés y adhèrent. Les Employés Suisse sont nés de
la fusion des deux associations Employés affiliés VSAM (MEM, fondée
en 1918) et VSAC (Chimie, fondée en 1993). En été 2006, la
Fédération suisse des représentations du personnel de l'économie
électrique (FPE) est venue rejoindre l'organisation.